top of page
  • Facebook
  • Instagram
  • Pinterest

Ce fut une virée de trois jours seulement, mais je garde un souvenir ébloui de cette nouvelle rencontre avec Ernest Pignon-Ernest, dont plus de 300 créations de toutes natures étaient présentées au FHEL à Landerneau. Toutes les grandes problématiques de notre époque troublée étaient évoquées, sans fard, dans toute leur dureté : l'apartheid, la brutalité sociale, les travailleurs immigrés, la répression pour étouffer l'espérance.... Un grand artiste, grandi encore par son engagement au service des plus humbles.

Pasolini. Si je reviens...2015.


Après le choc de l'exposition Ernest Pignon-Ernest, la visite au Mont Saint-Michel était une bouffée d'air pur, le retour à un peu de sérénité dans un havre de paix. Malgré le côté un peu trop "marchands du temple"du village, la découverte de l'architecture complexe de l'édifice -aucun plan préétabli mais des rafistolages successifs- est pleine d'intérêt. On devine très vite la maîtrise de ces bâtisseurs, confrontés à un chantier, dont ils savaient pertinemment qu'ils ne connaîtraient pas la fin.



Le Mont-Saint-Michel, au milieu de la baie.


Dernière mise à jour : 6 avr. 2022

J'ai profité de mon passage dans le canton de Vaud pour aller à la découverte de ce nouveau musée de la ville de Lausanne. Une architecture moderne, parfaitement adaptée à sa fonction et des oeuvres de qualité ont fait de cette visite un moment de ravissement.... D'abord avec l'exposition "Résister, encore",






Dernière mise à jour : 25 mars 2022

J'ai été voir à Beaubourg deux expositions bien différentes. D'abord l'exposition Charles Ray, qui suscite de multiples questionnements et dans mon cas même un certain malaise, notamment avec cette représentation d'une famille, où les adultes et les enfants ont tous la même taille, les proportions ayant elles été respectées). Et puis la merveilleuse rétrospective Baselitz, avec entre autres ses grands tableaux au motif renversé -pour qu'aucune interprétation littérale ne soit possible- ce qui n'en fait pas disparaître le caractère tourmenté. A voir ou à revoir, absolument. Pour ma part j'y retournerai volontiers.

"How a table works", Charles Ray.

2
bottom of page